PAR...OLLIER
Blog du parolier Denis Ollier : textes chansons paroles poésies
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un bel hommage à ce livre de romain gary qui avait compris avant tout le monde l'importance de préserver toute
Par Sandrine de Eco pl, le 17.08.2025
voilà une zik qui fait voyager de la plus belle façon ...en bécane. c'est bien fait sous tous les aspects. bra
Par jean le bleu , le 27.07.2025
c'est du polar en vers libres, une chanson de casino et de destin , où la dame du dimanche devient presque un
Par Larentide -Music-a, le 25.07.2025
très jolie composition . super musique et vidéo. bravo à tous les deux!
Par Christiane Baert , le 25.07.2025
super! bravo! une belle fusion entre les mots et la musique! le texte est fort , j'en adore les paroles, la fi
Par Viviane Fournier, le 25.07.2025
· Ta différence
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· Clair de Jour
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Date de création : 06.04.2010
Dernière mise à jour :
17.08.2025
38 articles
Aux racines du ciel
La savane à l’infini,
Le soleil en haut …vivement la nuit !
La poussière, sur le troupeau
La terre qui résonne, mais où est le point d’eau ?
Un bouquin, Romain Garry
Et l’Afrique est là, l’éléphant barrit
La poussière sur le troupeau
La terre qui résonne, mais où est le point d’eau ?
Oui la vie est belle…sous le feu du ciel … au ciel les défenses…
N’ont pas le même … le même sens.
Oui la vie est belle … aux racines du ciel … au ciel les racines…
Qui désignent notre origine…
Tout l’ivoire, que tu crois voir
Avide inhumain, au bout d’un destin
Tout l’argent entre tes mains
Vaudrait-il la fin de la force en chemin ?
Oui raconte … Romain Garry
Quand l’Afrique est là, les éléphants gris
La poussière sur le troupeau
La terre qui résonne, quand ils gagnent le point d’eau
Oui la vie est belle…sous le feu du ciel … au ciel les défenses…
N’ont pas le même … le même sens.
Oui la vie est belle … aux racines du ciel … au ciel les racines…
Qui désignent … notre origine…
La poussière, une masse sombre
Les vautours les hyènes autour de son ombre
L’éléphant est sur le flanc
C’est la liberté qui coule avec son sang
Oui reviens, Romain Garry
Nous conter la vie des éléphants gris
La poussière sur le troupeau
La terre qui résonne, quand ils gagnent le point d’eau
Oui la vie est belle…sous le feu du ciel … au ciel les défenses…
N’ont pas le même … le même sens.
Oui la vie est belle … aux racines du ciel … au ciel les racines…
Qui désignent … notre origine…
Compositeurs : Christophe et Jason Fauvet
Chant: Jason Fauvet
Un soir, un dimanche
Le désespoir est noir
Qui frappe à l’arme blanche
Tout au bout du couloir
La dame du dimanche
Le coup est affûté
Venu d’un fond d’angoisse
Vieux rêves agités
Qui suintent la poisse
(music)
L’adrénaline est bleue
Mais rouge le sang froid
Sur les tapis de jeux
Quand le sort fait la loi
La dame du dimanche
Regarde le décor
Elle rêve de revanche
Et d’un jeton encore…encore !
Tout le monde ne vit pas gagnant … Tout le monde est perdant … un jour …
Un soir …un dimanche …
La boule est un aimant … le sort est désarmant … velours … contours … rebours …
Les jeux sont faits ...
(music)
Les marbrures sont grises
Sous les lumières d’or
Et la rue sans surprise
Murmure l’inodore
Épinglé au revers
D’la dame du dimanche
Un fétiche à l’envers
En forme de pervenche
Tout le monde ne vit pas gagnant … Tout le monde est perdant … un jour …
Un soir …un dimanche … (bis)
La boule est un aimant … le sort est désarmant … velours … contours … rebours …
Un taxi vous attend madame …
Compo , Son et chant : Gill Dougherty
https://www.youtube.com/watch?v=OzhnlXnWRLo
Tu connaîtras les pierres
Qui pleuvent sur la route
Et les chiens de désert
Qui mordent au coin des doutes
Tu connaîtras la hache
Que disent les regards
Et les mots que l’on crache
Sur l’ombre des bâtards
Tu connaîtras le froid
Tu connaîtras le vent
Tu connaîtras du roi
Que son beau drapeau blanc
Tu connaîtras la guerre
Qui pue rage et sueur
Et pisse à la rivière
Tous les sangs de l’horreur
Tu connaîtras les hommes
De charognes en vautours
Qui chantent pour les dogmes
Et violent aux alentours
Tu connaîtras le froid
Tu connaîtras le vent
Tu connaîtras du roi
Que ses beaux régiments
Tu connaîtras la peste
Les rats devenus gras
Les longs convois funestes
Qui mènent aux choléras
Tu connaîtras la peur
La faim et ses pleureuses
Les dagues du malheur
Les chaînes douloureuses
Tu connaîtras le froid
Tu connaîtras le vent
Tu connaîtras du roi
Que d’être son manant
Tu connaîtras enfin
Une ombre de silence
Tout au bout du chemin
Dans la terre de patience
Sans doute renaîtras tu
Pour un destin de roi
Mais te souviendras tu
Que cet homme était toi …
Qui a connu le froid
Qui a connu le vent …
Qui connaissait de toi
Que ton beau drapeau blanc ?
Composition et chant : Eric Le Noir
Ce texte a obtenu le 2e prix (poésie néo-classique) aux jeux floraux méditerranéens 2025
Tu m’as quitté trop tôt
Tu m’as quitté trop tôt
J’étais bien trop enfant
Pour poser quelques mots
Sur l’ombre de l’instant
Tu m’as quitté hier
Je sais qu’il y a longtemps
Mais le livre est ouvert
A la page du vent …
Tu m’as quitté trop tôt
L’angoisse noircit le sang
Et s’agrippe à la peau
Tatouée au dedans
Tu m’as quitté hier
Et tout au fond des poches
Mes poings ont l’caractère
Qui garde les écorches …
Tu m’as quitté trop tôt
Je n’ai plus de racines
Juste un coin de photo
Ombrée de ta Glycine
Tu m’as quitté hier
Et j’ai le goût d’errance
Qui cherche la lumière
Derrière l’apparence …
Tu m’as quitté trop tôt
C’est la vie, c’est ainsi
Je suis comme le rafiot
Qui ne sait le pays
Qu’il a quitté hier
Et sans le retrouver
Sans trop faire le fier
Cherche à y retourner …
Composition et Chant:Eric le Noir
Ce texte a obtenu le 2e prix de poésie classique au Concours "Les plumes limousines" De Saint-Junien
Nono
Y’a quoi derrière ton cuir, Nono
Entre l’ombre des franges
Les rivets, les anneaux
Et les odeurs de peau ?
Y’a quoi derrière ton bike, étrange
Qui s’en va Davison
Chercher les amazones
Au bout de la maldonne ?
Me la joue pas big Rock , Nono … j’sais rimer dans le hard ,s’il faut … à déjanter les cordes… à déjanter les cordes …
Me la joue pas don’t Rock … Nono … J’ai traîné sur les docks …très tôt … et je tape dans le métal … et je tape dans le métal … s’il le faut …
Y’a quoi derrière l’tattoo , Nono ?
Entre l’ombre des ailes
En reflets sur ta peau
Comme le cri d’un oiseau ?
Y’a quoi qui cherche l’orage … la Grêle
Les plaines et les espaces
Les indiens qui s’effacent
Aux horizons qui tracent ?
Me la joue pas big Rock , Nono … j’sais taper dans le hard ,s’il faut … à faire hurler la horde… oui les loups de la horde …
Me la joue pas Tock Rock … Nono … J’ai Pêché le haddock … Très tôt … et je tape dans le métal … et je tape dans le métal … s’il le faut …
Y’a quoi derrière ton nom , Nono ?
Qui veut dire non de non
Qui veut de l’horizon
Qui se tape de la raison ?
Y’a quoi , ya quoi… bordel… Nono
Réponds moi en musique
Allez trashes la réplique
Allez crache moi ta zik …
Et joue la moi big Rock, Nono … Faut qu’ça tape dans le hard , il faut … à dézinguer les cordes …à dézinguer les cordes …
Et joue la moi hard Rock , Nono … je veux que ça déblock un max...Nono...et tape dans le métal...et tape dans le métal ...il le faut !...
Compo et Chant : Tony Da Luz Clever Fox Music
https://www.youtube.com/watch?v=gjEoKSdLvFo
Chimères boréales
A moitié fou, à moitié chien
J’irai traîner sur le Baïkal
Ma poésie de rimes à rien
Vers les chimères boréales
Je parlerai l’espéranto
Aux fleurs de givre, et à ceux là
Elfes du vent dans les cristaux
Qui les rassemblent en mandalas
A moitié fou, à moitié chien
J’éviterai l’odeur de l’homme
Et je fuirai toujours plus loin
Pour voler à l’air son arôme
Je raconterai l’immensité
Aux craquelures de la glace
A cette eau noire comme envoûtée
Par l’ombre blanche à sa surface
A moitié chien , à moitié fou
J’irai à pied toujours tout droit
Je sentirai l’esprit des loups
Brûlé de vent, giflé de froid
Je chanterai la liberté
A ce que vie a désappris
Dans l’esclavage des cités
Et qui s’oublie à Ouzoury
A moitié chien , à moitié fou
Bout de l’hiver, j’hibernerai
J’attendrai sage le redoux
Dans le refuge de la cédraie
Devenu chien, devenu fou
Enfin je me réveillerai
J’irai m’asseoir au bout de tout
Et face au lac je rêverai …
Composition et Chant : Eric Le Noir
Cette Chanson a obtenu le 1er prix de la chanson poétique au prix International Arthur Rimbaud 2024
Chevalière 2100
Jolie fontaine lacée de lierre
Petit jardin et banc de pierre
Et au milieu des fleurs des champs un amandier qui sème au vent
Ses confettis pétales blancs
Petit jardin et banc de pierre
Où se repose une chevalière
Elle n'a ni heaume ni alezan, ni épée qui bat sur le flanc
Sa seule arme est un saxo blanc
Dans quelle ville quelîlot sauvage
Naissent les notes de voyage?
Sur quels sommets quels océans
Se posent les pétales blancs?
Les dauphins bleus, élans sauvages
Emportent la fille en voyage
La chevalière de notre temps
Qui rêve sous l'amandier blanc
Dans les yeux de la chevalière
Des pays du bout de la terre
Où elle a semé en jouant, notes de blues par tous les temps
De l'autre côté des sommets blancs
Une fontaine au bout de la terre
Chevalière gravée dans la pierre
Et au milieu des fleurs des champs comme un écho qui sème au vent
Notes de blues en noir et blanc
Dans quelle ville quelîlot sauvage
Naissent les notes de voyage?
Sur quels sommets quels océans
Se posent les pétales blancs?
Les dauphins bleus, élans sauvages
Emportent la fille en voyage
La chevalière de notre temps
Qui rêve sous l'amandier blanc
Ce texte de chanson a obtenu le 1er prix au 25 e concours national de poésie de la ville de Montbelian
Ce texte n'est pas libre de droit . Me contacter si vous êtes intéressés.
Ta différence
Approche donc de moi
Si tu oses …
Approche-toi de moi
Et pose …
Je caresserai
Vers ou prose
Je caresserai
Ta différence qui propose
Là derrière mes yeux
Porte close
Rien de périlleux
Ca repose …
Approche-toi de moi
Si tu oses …
Je lirais en toi
Ta différence, qui me cause
Je peindrai ton être … derrière le paraître … sans le maquillage … sur tes paysages …
Je peindrai ton être …. et tout tes peut être…tes failles fantaisies … prose ou poésie …
Je peindrai ton être … je peindrai ton être
Approche donc de moi
Si tu oses
Approche-toi de moi
Et cause
Et j’écouterais
Au-delà
Et j’écouterais
Ta différence derrière là
Là derrière ton cœur
Est ta rose
Là derrière tes peurs
Si tu oses
Et moi j’écrirai
Vers ou prose
Et moi j’écrirai
Ta différence qui s’expose
Je peindrai ton être … derrière le paraître … sans le maquillage … sur tes paysages …
Je peindrai ton être …. et tout tes peut être…tes failles fantaisies … prose ou poésie …
Je peindrai ton être … je peindrai ton être
Approche-toi de moi
Si tu oses…
…………………….
Si tu oses …
Ce texte a obtenu le sarment d'or aux Septièmes jeux poétiques de la ville de Sartrouville ( Poésie à thème néo-classique )
Compo arrangements et Chant : Eric Lenoir
Apatride
Au mur de mon « Amazonie »
Mon coutelas d’Indonésie
Mes masques afro du Zimbabwe
Des photos d’amantes avouées
Au mur s’égare mon regard
Quand le blues rattrape mon histoire
Et chante au fond de ma mémoire
Les ports, les routes, les quais de gare
Je resterai un apatride … fou aspiré … par tous les vides
Je resterai toujours ailleurs … fou... inspiré... par d’autres odeurs
Je resterai un passager … venant... d’ ailleurs … un étranger
Mais la folie n’a pas de lit … je vis … au bout d’ailleurs … je vis…
Les murs que parfois je construis
N’enlèvent pas le goût des fruits
Que j’ai volé dans les jardins
De l’autre côté de leurs destins
Les murs sont beaux une fois franchis
Quand le soleil les réfléchit
Et qu’on les sent se résigner
A voir les voiliers s’éloigner
Je resterai un apatride … fou... aspiré … par tous les vides
Je resterai toujours ailleurs … fou... inspiré … par d’autres odeurs
Je resterai un passager … venant... d’ ailleurs … un étranger
Mais la folie n’a pas de lit … je vis … au bout d’ailleurs … je vis…
Au mur s’égare mon regard
Quand le blues rattrape mon histoire
Et chante au fond de ma mémoire
Les ports, les routes, les quais de gare
( music )…………………………
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Je resterai un apatride … fou... aspiré … par tous les vides
Je resterai toujours ailleurs … fou... inspiré… par d’autres odeurs
Je resterai un passager … venant... d’ ailleurs … un étranger
Mais la folie n’a pas de lit … je vis … au bout d’ailleurs … je vis…
Compo arrangements et Chant : Eric Lenoir
Ce texte a obtenu 1er prix dans la catégorie " D'ici et d'ailleurs " au concours de Poésie, Slam...même pas peur! des Hautes Terres d'Oc .
Pablito
La Bolivie et le Pérou
Sont des rêves qui rendent fous
Lui quand il chante l’altiplano
C’est comme un écho de là haut
La haut tout la haut
Les « te quiero »
Ont la douceur des guanacos …
La flute de pan et la quena
Résonnent au son de sa pena
Et quelque chose d’un condor
Plane sur les mots … amor … amor
La flute de pan et la quena
Sont le reflet de sa pena
Là où s’envole le condor
S’en vont ses mots … amor … amor
Amor el amor
Sont les accords
Qui lui rappellent celle qu’il adore
Amor el amor
Toujours encore
Ca le rend triste lui qui adore …
La nostalgie-mélancolie
Ne rencontrent jamais son oubli
Dans la vallée d’Urumbamba
L’écho là-bas ne l’oublie pas
Là-bas tout là-bas
Son chant est là
Où se languit Amelita …
Il chante à Londres , Il chante à Paris
Devant les gens un peu surpris
Par sa tenue si bigarrée
Et la musique qu’il laisse errer
music
Errer oui errer
Et puis chanter
En laissant les mots soupirer …
Amor el amor
Sont les accords
Qui lui rappellent celle qu’il adore
Amor el amor
Toujours encore
Ca rend le rend triste lui qui adore…
Compo et chant : Yves Alba ( Pizzicato)